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smarter medicine s’engage depuis de nombreuses années contre la surmédicalisation et les soins inappropriés dans le système de santé suisse. Afin de soutenir des projets de recherche favorisant la qualité, l’organisation lance un nouvel appel à propositions avec une dotation allant jusqu’à 40 000 francs.
Les personnes en fin de vie sont souvent soumises à des traitements antibiotiques inutiles, qui s’accompagnent d’effets secondaires et de la sélection de bactéries résistantes. Un projet de soins anticipé et une gestion individuelle des infections sont donc importants pour améliorer le traitement de ces patientes et patients.
Une nouvelle génération de stents biorésorbables est arrivée sur le marché. Contrairement aux stents métalliques, ces tuteurs à base de magnésium se dégradent progressivement – laissant libre les vaisseaux de tout corps étranger après 12 mois.
Nos expositions à des facteurs de risque biologiques, sociaux et environnementaux et l’inquiétude que cela génère seraient-elles sans limite? Les progrès sanitaires ont fait se déplacer nos inquiétudes des maladies à celles d’être exposé à des risques notamment socio-économiques et environnementaux. Une conséquence est que l’on pratique une santé publique de plus en plus politisée, argumente Arnaud Chiolero.
La Suisse dispose d’un excellent système de santé, dont la qualité est appréciée par la population. Le manque de généralistes et des structures défavorables pourraient être fatals à la prise en charge adéquate des patientes et patients. Les auteures montrent comment le problème peut être abordé.
En 2021 et 2024, le Tribunal fédéral a examiné la responsabilité pénale d’un médecin ayant prescrit du pentobarbital de sodium à une femme en bonne santé. Sa conclusion: la prescription de pentobarbital à une personne en bonne santé n’est pas une question d’ordre médical ou thérapeutique, mais d’ordre éthique et moral.
En été, nager dans le Rhin, l’Aar ou tout autre cours d’eau n’est pas qu’une expérience rafraîchissante. On y apprend à ses dépens pourquoi le fleuve est si souvent utilisé comme métaphore de la vie. Telle l’eau, la vie coule sans cesse. Cela commence dans le corps par les cellules, qui se forment, se spécialisent et meurent. Le changement: un principe biologique.
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